Le fonctionnement de Grand Shooting est toujours le même, quelque soit le type de projet : vous créez des productions avec des workflows prédéfinis, puis vous chargez des médias qui avancent dans le workflow.
La 1ère étape correspond généralement à la capture : il s’agit de remonter sur la plateforme les médias, éventuellement de les annoter, puis de les transmettre aux personnes en charge de l’étape suivante du workflow (le plus souvent les retoucheurs ou une équipe de post-production).
Sur la plateforme la phase de capture s’appelle le « Live » (le nom vient du fait que les médias sont affichées en temps réel). Le workflow par défaut comprend 1 étape de retouche qui s’appelle « Phase 1 ». Il est possible d’ajouter une seconde phase de post-production et de les nommer comme vous le souhaitez.
L'opérateur en charge de la capture installe sur son ordinateur le client de synchronisation Grand Shooting. Cette application fonctionne comme un « dropbox » : elle charge automatiquement le contenu du répertoire dans lequel sont sauvegardés les fichiers.
Les médias remontent donc automatiquement sur la plateforme Grand Shooting à mesure qu’elles sont développées sur le poste de capture. Elles sont immédiatement disponibles sur le Live et, si vous le souhaitez, vous pouvez ouvrir des accès à d’autres personnes pour les annoter (par exemple pour donner des instructions à la retouche) ou pour effectuer une sélection avant envoi en retouche.
Les personnes en charge de la retouche accèdent également aux images en temps réel, et le cas échéant aux annotations. Elles peuvent donc commencer à travailler les médias les plus urgents s’il y en a.
[[gsGoodToKnow]]Si vous passez par un prestataire pour la retouche, Grand Shooting intègre également les outils pour les transmettre par FTP.
En cas de problème, la plateforme remonte des alertes sur le Live : par exemple les visuels mal nommés. À la fin de la séance de shooting, le responsable de la capture passe en revue ces alertes pour traiter les erreurs.
À la fin de la journée vous savez que tous les visuels ont été produits.
Selon vos besoins, vous pouvez paramétrer votre workflow pour avoir 1 ou 2 étapes de retouche ou de post-production. Cela peut être utile par exemple pour dissocier une étape de chromie.
Les personnes en charge de la retouche livrent les images sur la plateforme de la même manière que la capture, par glisser-déposser sur l'application web ou via le client de synchronisation.
La plateforme assure que tout le monde partage les mêmes informations sans avoir à communiquer par email. En particulier les retoucheurs voient les images sélectionnées, les commentaires et les annotations.
Sur Grand Shooting les étapes du workflow sont représentées par des cercles. Une pastille verte sur un cercle signifie que tout va bien. Une pastille orange signifie que l’étape du workflow n’est pas terminée et le numéro indique le nombre d’images à traiter.
Par défaut les images chargées par les retoucheurs sont proposées à la validation sans modification. Mais selon vos besoins, vous pouvez paramétrer des exports pour appliquer des traitements supplémentaires, comme par exemple :
Selon votre licence, à partir d’une image retouchée, vous pouvez paramétrer plusieurs exports pour générer plusieurs images dans différents formats (par exemple nommées différemment).
[[gsGoodToKnow]]Il arrive souvent de paramétrer 2 exports, pour préparer les images selon le cahier des charges d'une site e-commerce et pour conserver une version haute résolution réutilisable par ailleurs.
Les exports préparent les visuels à valider dans des formats attendus. Ils effectuent aussi un ensemble de contrôles et alertent lorsque le cahier des charge n'est pas respecté. C'est par exemple un bon moyen pour détecter une mauvaise taille d'image, un mauvais nommage ou un profil colorimétrique manquant.
Selon vos besoins, vous validez les images exportées ou vous déléguer la validation à d'autres utilisateurs (chef produit, direction artistique, etc.). Les médias peuvent être validés ou refusés uns à uns, ou en masse.
Lorsque vous refusez un média, il est conseillé d'ajouter un commentaire pour guider la retouche dans les correctifs à apporter.
Les retoucheurs sont notifiés des refus, corrigent et chargent les médias corrigés, pour les soumettre à nouveau à validation. Ce cycle de refus / validation peut-être répété autant de fois que nécessaire.
Dans l’exemple ci-dessus, on peut voir que la capture est terminée, que la retouche est en cours (81 images restent à retoucher) et que 80 images exportées sont en attente de validation.
Sur les planches contacts, ce sont systématiquement les dernières versions qui sont présentées. Toutes les versions antérieures refusées sont conservées, de telle sorte que vous pouvez comparer deux versions entre elle et vérifier que les corrections demandées ont bien été réalisées.
Une fois validées, les images peuvent être téléchargées, mais le plus intéressant est qu'elle peuvent être automatiquement diffusées, par exemple dans un PIM, un DAM ou un site e-commerce (ou les 3).
Ci-dessus, vous voyez le workflow d’une production terminée : toutes les étapes ont leur pastille verte, 25 images ont été validées et sont disponibles au téléchargement.